vendredi 15 mai 2020

Le mask ou le masque?



Facts: Porter un masque :
- Prive les barbiers de leur métier
- Empêche les sourds et malentendants de lire sur vos lèvres (parlez-vous la langue des signes ?), donc on les exclut du monde.
- Provoque des maux de tête, hypoxie (oxygène down) et hypercapnie (dioxyde de carbone sanguin up), attention gens déjà fragiles !
- Et une baisse de votre immunité à cause de l’hypoxie (inhibition des Lymphocytes-T)
- Force votre respiration et fatigue vos muscles pulmonaires
- Uniformise notre société. See “THX 1138” the future is now ! Blessings of the masses. Blessings of the State
- Empêche de donner et/ou retourner un sourire (ça vous arrive de le faire en premier ?)
- Développe le « eye contact », Fonzi is back
- Est un artifice fashion quand on est en bonne santé (c’est tout? )
- Permet aux gueules cassées de ne plus être jugées
- Permet de masquer votre voix de fausset
- Transforme votre voix en mangeur de chamalow
- Augmente votre charge virale si vous êtes malade (on les empêche de rentrer donc de sortir)
- Stocke les virus et bactéries dans vos naseaux de bovins
- Rappelle que votre haleine..., existe bel et bien
- Masque (ah bon ?) vos émotions
- Provoque un hélix valgus (décollement de l’oreille pour rester poli…)


On met quand une combi intégrale étanche, bouteilles d’oxygène et bottes de sept lieux comme dans ET l’Extraterrestre?

Et comme disait Olivier Véran le 21 Avril : Allez « On ouvre les fenêtres »

« Sur la fin de l’épidémie, hélas, il a l’air assez résistant à la chaleur et aux beaux jours ce virus, de ce qu’on en sait. Mais en réalité, vous savez ce qui fait que la grippe s’arrête au printemps ? Ce n’est pas la chaleur, c’est qu’en fait, au printemps, qu’est-ce qui se passe ? On ouvre les fenêtres, on ouvre les portes, on n’est plus confiné dans des lieux, on va dehors. Et donc, c’est le confinement qui provoque la circulation du virus »

mardi 12 mai 2020

Crise d'identité : l'éveil



On est entrain de nous isoler de nous même, de s'isoler de nous même.

Nous vivons une crise de connexion avec notre environnement. Et nous sommes aussi l’environnement, pour d’autres...

À nous couper toujours plus de notre milieu émotionnel, physique, biologique, nutritionnel, spirituel...nous ne sommes plus capable de nous adapter à notre environnement. Nous manquons d’informations. Et nous sommes laissé à la traîne de l’évolution, de la vie elle même. Nos structures biologiques s’affaiblissent, de même que les mentales et spirituelles. Nous ne comprenons plus que nous n’existons que parce que la Terre est là, avec ses fleuves et océans, ses prairies et montagnes, ses plantes, arbres et animaux, ses minéraux et bactéries. Sans eux nous ne serions qu’une chimère au potentiel hasardeux pour la prochaine phase d’évolution de la vie. Et la période actuelle nous le prouve.Une remise à niveau s’opère?

Poursuivant notre quête d’identité effrénée, nous continuons à nous couper de nous même, c’est à dire de tout ! N'est-ce pas paradoxal? De la nature, de nos émotions en les fuyant et ne les acceptant pas, de nos corps en ne les regardant pas et en voulant les modifier en permanence concrètement et virtuellement, de nos pensées en les réprimant, de nos anciens en les mettant dans des mouroirs, de nos jeunes en les conditionnant et en leur transmettant nos peurs et angoisses non réglées, de nos idées en devenant des robots incapables de questionner nos croyances et de les challenger, la pensée unique guette, de nos compagnons animaux en les considérant comme des objets ou doudou réconfortants pour notre seul bénéfice, des plantes et fleurs en ne les regardant plus, en ne les sentant plus, des arbres qu’on emprisonne de béton jusqu’au tronc dans les villes alors qu'ils fertilisent et stabilisent la terre que nous foulons de nos pieds tous les jours, des bactéries et virus qui sont présents en nous par milliards pour nous protéger et nous avertir que nous devenons toxiques. 

Et qu’allons nous trouver au bout de ce processus de découpage, de dissociation, de séparation ? Le vide, cette matière vide d'espace qui nous constitue à 99.9%. Ce vide intérieur, cet abysse infernal qui nous terrifie et nous angoisse dont nous ne pouvons imaginer le fond. Car nous sommes ce vide tant que nous n’aurons pas intégré que nous sommes tout ce qui nous entoure et que nous co-créons en permanence. Ne voyons nous pas que nous sommes là partout dans l’univers, cette étoile, Arcturus, géante orange de la constellation de Bouvier, qui illumine les nuits de l'hémisphère nord, cette abeille échouée sur le bitume parisien qui peine a reprendre son vol, cette corneille qui joue à "qui es-tu" avec un chat de gouttière trapéziste sur le toit d'un immeuble, ce ciel azur qui nous absorbe sans résistance, cet arbre qui tisse ses liens invisibles à nos yeux et sens , cet océan qui nettoie tous nos émois et bien plus, cette émotion qui vous parle, cette pensée qui ne fait que passer, ce sourire qui veut dire... 

Apprenons à écouter et observer notre environnement, car une partie de nous est là devant, pas dans l’image qu’il nous renvoie et qui peut nous plaire, nous flatter ou nous décevoir, mais dans ce qu’il est intrinsèquement. Nous sommes la Terre et elle est nous.


Le fleuve est terrifié quand il voit l’océan au loin, il va perdre son identité se dit-il, se noyer dans le néant de l’immensité liquide, mais quand il accepte de se jeter en lui, il devient l’océan lui même.

La vie est un processus d'adaptation


Comme toute forme de vie ou de matière, atome, molécule, bactéries, virus (oui ils sont vivant, ils sont la cellule dans laquelle ils entrent), humains, abeilles, champignons, arbres, plantes, volcan, océan, plancton, planète, système solaire, galaxie, nous réagissons fortement à un changement de l’environnement dans lequel nous vivons. Quand celui-ci devient toxique pour nous, nous nous reproduisons en masse pour survivre, pour donner une chance qu’une mutation adaptative naisse parmi toutes ces nouvelles têtes blondes si je puis m’exprimer ainsi. Ce stress « oxydatif » génère des expulsions de matériel génétique, informationnel qui est perçu comme agent infectieux. Un peu comme des capsules de sauvetage dans un vaisseau spatial en perdition dans l’espace intersidéral. Ou comme des canots de sauvetage sur un paquebot éventré par un iceberg ou un calamar géant, pour évoquer notre espèce les êtres humains. La nature fait la même chose. Et nous ne sommes pas différents de la nature, nous ne sommes ni au-dessus d’elle ni en dessous. Les mêmes règles s’appliquent à nous. Un Volcan pépère, endormi depuis des centaines d’années, s’apprête à passer au-dessus d’une zone de subduction grâce à la dérive des continents. Alors il se réveille et il expulse sa propre matière, une partie de lui-même, de ce qu’il est fondamentalement, une partie du tout, de la Terre. La charge virale d’un virus, c’est-à-dire sa « population » dans un volume donné, n’est pas infectieuse en temps normal quand l’environnement dans lequel il est, notre corps, n’est pas toxique, délétère, en perdition, en train de couler. Nous portons des milliards de virus et bactéries en nous. Et ce lieu de vie leur convient, ils sont bien traités et ils nous traitent bien. Sauf quand leur paquebot, leur vaisseau, la plante sur laquelle ils vivent devient toxique pour eux car en mauvais état ou négligé. Alors ils communiquent l’information et se reproduisent pour survivre et permettre qu’une descendance puisse intégrer un autre monde plus sain où ils pourraient établir une nouvelle civilisation, en harmonie avec ce dernier. Un peu comme si notre Terre chérie devenait un enfer pour notre biologie. Que ferions-nous ? Certains s’adapteraient, des mutations. D’autres fuiraient à travers l’espace trouver une autre maison. Nous sommes tous le virus, la bactérie d’un autre être dans cet univers. Quand nous l’aurons compris et intégré, nous prendrons soin de nous-même, de notre environnement intérieur et extérieur, car nous sommes tous intimement liés et intriqués les uns aux autres.

jeudi 30 avril 2020

Le masque: la génèse de la peur




Partout, depuis l’aube des temps nous cherchons tous, nous créatures de l’univers à voir le bourreau dans la victime et la victime dans le bourreau, le bien dans le mal et le mal dans le bien, le froid dans le chaud et le chaud dans le froid, le beau dans le moche et le moche dans le beau. Nous sommes l’univers qui cherche à se voir en lui-même à travers toutes les expériences émotionnelles que nous vivons et mettons en place dans notre incarnation biologique sur Terre. Ainsi nous sommes donc des alchimistes, des associations de trou noir trou blanc qui transmutent en permanence toutes les formes d’énergie: pensées, paroles, matières, sons, émotions, chaleur, froid, vibrations et bien d'autres encore. Qui créent des polarités en ce monde pour pouvoir se mesurer. Se trouver une identité en se comparant en permanence à tout ou rien. Nous sommes entrain de réaliser que nous avons créé ces polarités et qu’elles ne sont que le produit de nos peurs. Que notre identité est autre, bien plus large et profonde. Le monde dual est ainsi, terrien, manichéen. Nous l'avons voulu ainsi pour nous trouver une identité. En réalité rien, absolument rien n’est dual ni polaire. Tout est UN, comme un cercle, tout communique, tout passe de l'un à l'autre, la peur et la joie, la haine et l'amour, le chaud et le froid, la nuit et le jour, le soleil qui passe le relais à la Lune, les croyances et le lâcher prise. Et ce passage de l’un à l’autre est instantané, il n’y a pas de transition, de démaquillage, de déshabillage, le temps n’y existe pas, car les deux sont issus de la même substance, vibrant à des fréquences différentes. Il n’y a pas de masque en toute énergie de la création...le masque induit le temps et donc la mesure, le jugement. La pensée aussi...Existons nous par le ressenti ou par la possession? Etre ou Avoir? J'en déduis par la que la pensée n’est que le résultat énergétique réel du masque que nous nous imposons tous les jours. De nos désirs d'Avoir...d'attention, de sécurité, de propriété. Et nous allons le matérialiser. . Autrement dit, le fait de ne pas s’accepter soi, de ne pas nous aimer tel que nous sommes, de remettre ce masque tous les matins, génère la pensée et ses fidèles vassaux, la culpabilité, le contrôle, la manipulation, la tristesse, la peur, la guerre. Une dépense d’énergie considérable qui nous intoxique, nous tue à petit feu et entretien le mensonge global dans lequel nous vivons actuellement.  Bas les masques!


La dictature commence lorsque l’on s’empêche d’être soi même, quand on met le masque…
Yakbhu

mardi 21 avril 2020

Le Virus c’est Nous !



Ça marche ! Le virus a réussi à nous faire comprendre, mais ce n’est pas encore intégré, que c’est nous le virus! Avec un petit coup de pouce de la peur et des gouvernements, voire du vide existentiel qui nous habite car on a tellement peur de tout, même de vivre, qu’on apparaît presque comme mort la plupart du temps. Ahhh lui là, pourquoi il s’écarte d’un coup sur le trottoir il avait l’air sympa? Et elle m’a pourquoi elle prend la piste cyclable pour un trottoir? Le petit teigneux il me regarde de travers. Quoi c’est ma barbe de cro magnon qui pousse depuis le dix sept mars deux mille vingt ? J’ai un truc sur la gueule ou quoi? Ah merde lui il a un masque, je m’écarte? Mais saperlipopette, je suis stupide, ça peut pas passer à travers, même en tournant la tête, retenant ma respiration et en bouchant mon nez? Ou mince, il se protégerait de quoi ? De mes expulsions ou déchets informationnels génétiques (euuh un virus à ARN messager je crois) provenant de mes mucosités nasales ou buccales adorées ? Oui je respire c’est vrai, ah ben si j’avais su, j’aurais pas respiré heing msieur ! J’ai la sensation d’être cerné et de voir le virus partout autour de moi. Quand je vais faire mes courses j’en croise quand même beaucoup, mais ils s’écartent. Même ceux masqués. C’est bizarre, un virus, ça continue son chemin, ça dévie pas, il sait ou il va lui. Il prend les grands boulevards et il fonce porter l’information comme un coursier essoufflé. Mais à qui ? Ben au voisin d’à coté. Çà alors ! Faut que je me rende à l’évidence, tout le monde m’évite et me regarde de travers quand j’ai un masque ou quand je n’en ai pas, alors que je sais bien où je vais.  Ca y est je viens de comprendre. C’est moi le virus, c’est nous. On n’a pas besoin d’être contaminé, on est désigné d’office. Je suis un danger pour vous, vous êtes un danger pour moi. Le virus c’est nous, pas lui…le messager.

lundi 23 mars 2020

Qui es tu ? Mon inconnu


Qui es tu, mon inconnu ?
Il n’est pas vivant ou presque. Il n’a pas de respiration. Pas de métabolisme. Pas d’énergie. Il n’est que pure information protégée par une membrane protéique. Il peut rentrer aussi facilement dans nos cellules et les utiliser à son avantage, comment cela ? De l’extérieur il n’a pas l’air commode le gars. Ses récepteurs protéiques, les petits pics qu’on voit à la surface, lui donne un air de hérisson grognon. Ils se fixent comme une clé sur les cellules hôtes. Et la porte s’ouvre. Comment est-ce possible ? Cette cellule et ce virus se connaissaient-ils déjà ? Y a-t-il une quelconque relation entre eux ? Des parents ? Des amoureux ? Des cousins ? Des amis ou ennemis perdus de vue ?  Toujours est-il qu’ils ont quelque chose en commun et s’accordent pour passer un moment ensemble dans le cytoplasme. Prendre l’apéro avant la fin de cette amitié, cet amour ? Une dernière célébration avant la séparation? La destruction. Il s’invite peut être, de force. Regarde dans le frigo si il y a un bout à grignoter, utilise votre ordinateur ou votre salle de bain pour se mettre sur son trente et un. En plus il prend votre énergie, votre attention, votre affection pour se remettre en forme, refaire sa garde robe, sa capsule protéique de protection. Et puis le comble, à l’aide de son ADN ou ARN, l’information qu’il contient, il se reproduit avec vos propres matériaux, vous dénature complètement et détruit votre maison.. Un vampire. On dirait qu’il fait comme si il était chez lui. Mais c’est peut être le cas. Un retour au bercail ? Serait il un déchet mal aimé de vos cellules ? Un vestige d’une lutte passée ? Une partie de vous même que vous ne reconnaissez pas et que vous bannissez ? Un fantôme ou une ombre cellulaire banni ? Une tentative de transmutation ratée ? Une information maintenant inutile ? Quelle est-elle ?
De nos jours on ne se pose la question que des symptômes que tu provoques, comme des traces de pattes dans la neige, ou des ondulations imprimées sur le sable du désert. Des traces de batailles âpres avec des lymphocytes T. Mais qui es-tu ? Mon inconnu ?